Lux unica commitit
Je t'ai vu sur la plage,
L'énorme couchant d'opale et de nacre
Nimbait ton corps.
Je t'aimai
A cause de tes yeux étonnés
Et de ton drôle de sourire.
Je salue le vent qui caressa nos visages
Reflets d'un rêve glissé entre deux pas,
Secrète, invisible, je te berce, pensée.
La mer plane, ardente et libre,
La mer et ses vagues coalisées,
La mer dont chaque lame ébauche une tendresse
Mouvante, vivante, instance lumineuse
Recouvrait le sable et nos empreintes
Sous la fougue du vent qui s'ourlait
Comme un désir multiple et fou.
Nulle mer n'a de promesses à tenir !
Que s'éteignent les regards
Qui nous ont vu passer !
Nul soleil ne se lèvera plus,
Nulle bouche ne dira à nulle oreille
Le moindre mot d'espoir.
Le sable a bu d'une soif infinie
Les reflets d'un rêve à peine construit.
ELVI
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